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29/12/2006

Note envoyée à Claude Keiflin et publiée en partie par les DNA

Pour lutter contre la pauvreté il faut certes revoir l'urbanisme et les conditions de vie inacceptables, mais surtout ré- insérer les populations au chômage dans la vie active et travail leur apporter ainsi revenu et considération sociale. Si effectivement comme le dit Monsieur le Préfet JP Faugère c'est in fine l'emploi qui est la clé de tout.

Or pour relancer l'activité économique d'une ville comme Strasbourg, qui a dans ce domaine une fonction nouvelle tout à fait majeure, jusqu'à présent délaissée aux structures dites économiques, il faut attirer des richesses et développer des activités marchandes. Industrielles si possible, mais pourquoi pas aussi tertiaires. Cela fait par exemple des années que notre attractivité touristique est stagnante avec un rapport Tourisme /PIB bien passable. Et le TGV rappelons le n'est qu'un moyen de venir et non une raison de venir.

Les investissements qui ont été fait ces dernières années malgré leur utilité ludique et culturelles ne sont pas de nature à attirer des touristes, donc des capitaux et donc des emplois sur un rayon élargi. (France entière, Europe, Monde).

Notre proposition touristique n'est plus assez percutante, or c'est le plus grand gisement d'emplois prospectifs que nous ayons à notre disposition aujourd'hui à court et moyen terme.

Les emplois industriels et manufacturiers de faible qualification; il faut oublier. Les emplois de haute qualifications sont lents à élaborer et asymétriques par rapport à la population au chômage chez nous. Le tourisme réceptif est une industrie à relancer sur des base de nouvelles et dans ce domaine à part nous n'avons rien fait depuis pratiquement vingt ans.

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